Index - Liens en vrac par tags

Copyright + argent

5 liens en vrac

Le FBI sollicité pour la restitution des données Megaupload
«les avocats de Kim Dotcom prétendent que le FBI aurait agi illégalement en s'appropriant ces données à des fins d'expertise sans en informer la police néo-zélandaise» Mais va-ce changer quelque chose?
«Kyle Goodwin, un blogueur sportif qui hébergeait ses vidéos professionnelles sur Megaupload a déposé une motion, soutenue par l'Electronic Fontier Foundation, pour savoir à qui il devait s'adresser pour récupérer ses données sans débourser un centime. La réponse de Neil Mac Bride, le procureur en charge du dossier, est limpide : « Le gouvernement ne possède aucun des biens que réclame Monsieur Goodwin. (...) Et [il] ne s'oppose pas à ce que [ce monsieur] puisse accéder aux 1 103 serveurs précédemment loués par Megaupload. (...) Monsieur Goodwin peut se procurer les services d'un expert pour l'assister dans sa démarche ». En plus explicite, les autorités américaines ne sont absolument pas disposées à régler la facture d'une telle opération.»
Hadopi et Megaupload, le piratage se réorganise mais ne régresse pas
...
Hadopi fête ses 17 mois de succès...
« Que le P2P ait été déserté avec une baisse d’audience de 17 à 29 %, selon les sources, cela est entendu. Mais, si tant est que le lectorat de 01net. soit représentatif de la population connectée française, il semble en tout cas que le téléchargement illégal ne se soit pas arrêté pour autant. A en croire un de nos sondages effectué à la fin du mois de janvier, un peu plus de 72 % d’entre vous continuaient à télécharger illégalement. Il serait intéressant de savoir quels sont les derniers chiffres du téléchargement illégal en P2P depuis que Megaupload est fermé. Sur ce point, le rapport de la Hadopi reconnaît d’ailleurs qu’il « est encore trop tôt pour évaluer les conséquences de la fermeture » du site de Kim DotCom. »
Films X : des pirates doivent dévoiler leurs noms... pour garder l'anonymat !
« Une maison de production et d'édition de films pornographiques menace, aux Etats-Unis, de rendre public le nom des personnes ayant téléchargé certaines de ses vidéos via BitTorrent. Une situation que le tribunal appuie, expliquant que même si les accusés veulent garder leur anonymat, ils doivent dévoiler leur identité pour qu'elle soit inscrite dans le registre public. »
La Sacem s'oriente vers la taxation du cloud computing
Rien qu'au titre de cet article de numerama, on ne peut que... se marrer (mais jaune quand même). A suivre

copyleft 2012 @Cynoque