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Drogues + USA + prohibition

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[BigBrowser] QU’IMPORTE LE FLACON – Des ados américains se saoulent au gel désinfectant
Reprise de l'article du site BigBrowser, un blog hébergé par le monde. Cet article fait du neuf avec du vieux, enfin vieux, tout est relatif. On avait déjà une trace en 2009 de cette histoire sur France24
Service Public : Faut-il passer le oinj ?
Emission de 50 minutes, psy(s), auteur(s), auditeurs et consommateurs débattent d'une légalisation éventuelle.
La distinction entre la légalisation du cannabis thérapeutique (les malades officiels des maladies officielles qu'on sait qu'elles se soulagent voire qu'elles se soignent au cannabis, selon les dernières études publiées, et recherches, etc...) et la légalisation du cannabis récréatif, qui dit que certains malades auraient le droit légalement de consommer et d'auto-produire leur consommation de cannabis, parce que leur maladie est reconnue comme "se soignant au cannabis", et certains autres malades qui eux SAVENT que le cannabis les soigne mais qui eux n'auraient pas le droit parce qu'ils n'auraient pas été reconnus malades par exemple, ou que leurs maladies seraient d'origine d'un virus inconnu, ou tout simplement qu'on aurait pas encore officiellement dit que telle ou telle maladie ou tel ou tel symptôme dont souffriraient ces malades, se soignent ou se soulagent effectivement au cannabis, m'emmerde profondément. Je vois pas pourquoi le cannabis devrait être légal pour certains et pas pour d'autres qui par exemple auraient simplement besoin de se détendre de temps en temps autrement que par les produits chimiques vendus en pharmacie ou les herbes douteuses vendues aussi en pharmacie... Bref, que les malades, non. Tout le monde sans exception, oui.

Le président du Guatemala veut légaliser toutes les drogues
« Le président du Guatemala, Otto Perez, a lancé samedi 7 avril dans le quotidien britannique The Guardian un appel à la dépénalisation des drogues comme "alternative" pour lutter contre la violence qui déferle sur l'Amérique centrale. Partant du constat que "la consommation et la production de drogue sont toujours plus importantes" malgré des années de lutte gouvernementale, Otto Perez en appelle à "abandonner toute position idéologique - que ce soit celle de la prohibition ou de la libéralisation - et lancer un vaste dialogue international basé sur une approche pragmatique : la régulation du marché de la drogue." (Le Monde) »

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